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Structures productives, récif Artificiel, -13m, France, 2011

Structures productives, récif Artificiel, -13m, France, 2011

 Structures productives, récif Artificiel,             -16m, 2012.

Structures productives, récif Artificiel, -16m, 2012.

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Structures productives, récif Artificiel,              -23m, Portugal, 2012.

Structures productives, récif Artificiel, -23m, Portugal, 2012.

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Structures productives, récif Artificiel,        -31m, Portugal, 2012.

Structures productives, récif Artificiel, -31m, Portugal, 2012.

STRUCTURE PRODUCTIVES Dans le paysage sous-marin il existe des villes et des villages, de véritables architectures avec leur règles d’urbanismes. Couramment appelées « récifs artificiels », ces éléments souvent construits en béton sont en quelques années colonisés par la flore et la faune qui les transforment en sculptures/architectures vivantes.Ces « structures productives » sont parfois plus performantes que le milieu naturel. Elles proposent sur un même site des volumes d’habitations et des espaces de vie correspondant à l’ensemble du cycle de développement de différentes espèces. Une chaîne alimentaire complète et protégée peut alors se mettre en place.Au Japon, la réalisation à un niveau industriel de ces structures aboutit à la construction de villes entières et de programme «d’urbanisme» sous-marin. Ces formes apparaissent le temps de leur montage sur les quais des ports pour ensuite disparaître dans les profondeurs et entamer leur métamorphose.Le projet en cours est à la croisée de l’art contemporain et de la recherche scientifique : 1- établir une classification des différentes typologies de récifs artificiels existants dans le monde, en constituant une base de données en volume et sous forme d’installation. 2- établir un corpus d’images donnant à voir les familles de récifs en situation, c’est-à-dire les modes de colonisation par la faune et la flore. 3-concevoir et réaliser des sculptures-récifs dont les formes répondent aux informations scientifiques et formelles récoltées. Ces sculptures ne sont pas forcément immergées, elles ont une double destination : l’espace d’exposition en tant que sculpture et l’espace marin en tant que récif écologiquement fonctionnel. Ce projet initié en 2010 à reçu le "soutien pour une recherche artistique" du CNAP. Il est mené en lien avec des chercheurs: Sylvain Pioch (Université de Montpellier 3), Philippe Lenfant (Université de Perpignan), Gérard Veron et Yves Hénocque (Ifremer), Francois Simard (IUCN), Sandrine Ruitton (M.I.O), Hideyuki Takahashi (NRIFE).